Par Les conseillers en résidences de Résidences Québec


Madame Ouimet téléphone chez Résidences-Québec pour de l’aide. Elle magasine une résidence privée pour ses parents âgés de 81 et 84 ans. Voici leur histoire vraie, sous des noms fictifs. Grâce à Résidences-Québec, cette histoire se termine bien. Nous tenons à vous présenter ce récit qui revient un peu trop souvent dans les faits vécus de nos demandes d’aide à Résidences-Québec. Nous souhaiterions que les familles se prennent davantage en charge et plus rapidement lorsque vient le temps de l’hébergement, et ce, malgré une transition très difficile. Nous sommes là pour vous aider!

Monsieur et madame Ouimet : le couple séparé que nous avons réuni

Monsieur et madame Ouimet sont mariés depuis 60 ans et sont toujours amoureux malgré le temps et les nombreuses épreuves, incluant la maladie qui s’est installée tranquillement. Ils avaient choisi, pour les vieux jours, une résidence de leur quartier où il fait bon vivre à deux, malgré les inconforts de l’âge qui progresse. C’était la résidence idéale. Ils comptaient déménager d’ici quelques mois, sachant leurs besoins croissants. Par contre, la vie en a décidé autrement. Ils auront attendu un peu trop longtemps.

Un malheureux matin, madame s’est cassé la hanche en sortant de la baignoire. Elle a été hospitalisée et suite à une longue réadaptation, madame Ouimet a dû quitter l’hôpital sans retour au domicile possible. La famille Ouimet a fait la demande à partir de l’hôpital pour retourner à leur résidence actuelle où le couple pourrait vivre ensemble, mais faute de place à cette résidence publique, ce scénario s’est avéré impossible. Les Ouimet ont donc demandé une place en hébergement public dans une résidence avec services près du domicile du conjoint de madame afin qu’il puisse la visiter facilement. Ce scénario s’avère également impossible selon la travailleuse sociale de l’hôpital, faute de place en résidence au public. Un diagnostic de non-retour au domicile a été posé par le médecin, et madame Ouimet doit dire adieu à cette vie d’avant et ne retournera pas chez elle suite à ce constat.

Un itinéraire d’hébergement fatiguant pour madame Ouimet

Ainsi commence le processus d’hébergement malheureusement tardif et non planifié de la famille Ouimet. La famille Ouimet se retrouve maintenant dans une situation que plusieurs familles québécoises vivent présentement. Les places en hébergement public étant contingentées et devant sortir rapidement de l’hôpital, madame a été relocalisée dans la première résidence publique disponible à quarante minutes de voiture de la destination originalement souhaitée. Elle aurait aimé être en résidence dans le même secteur que son domicile original tel que son premier choix l’indiquait, afin que son conjoint et ses enfants puissent la visiter; question d’adoucir le deuil de devoir quitter sa maison. Elle apprend tristement que non seulement elle sera envoyée dans un secteur de la ville très loin de son chez soi et de son mari, mais que cette résidence n’est qu’une « station d’évaluation et d’orientation », ce qui veut dire qu’elle devra déménager une deuxième fois d’ici un mois, dans une résidence inconnue où il y aura de la disponibilité, en attendant son choix final. On lui annonce qu’elle pourrait être dans ce « transit » d’hébergement, loin de sa famille et de son secteur désiré, pour une période de six mois à un an, en attente d’une chambre à sa résidence actuelle. Ce sera donc trois déménagements, sans inclure le séjour à l’hôpital, que madame devra subir en l’espace de 6 mois à deux ans, en attendant son premier choix dans le secteur de l’hébergement public afin de retrouver son mari. Madame Ouimet est fatiguée et affaiblie et ne voit pas la lumière au bout du tunnel.

C’est un scénario commun et bien malheureux dans lequel les familles québécoises qui ne planifient pas l’hébergement à temps se retrouvent. Le système de santé québécois fait de son mieux pour accommoder tous les besoins et offre d’excellents services, mais il manque présentement de place en hébergement public sur tous les territoires du Québec et il en tient aux familles québécoises de participer activement à planifier à temps leurs vieux jours.

Monsieur Ouimet seul au domicile

Pendant ce temps, au domicile, le conjoint de madame Ouimet, âgé de 81 ans, présente lui-même des problèmes de santé qui se détériorent en l’absence de madame Ouimet. La routine quotidienne n’est plus la même sans son épouse adorée et il fait face à plusieurs difficultés. Son permis de conduire a été révoqué suite à un ACV l’an dernier. Il doit donc négocier le transport en commun beau temps, mauvais temps et parcourir plus d’une heure trente en autobus tous les jours pour voir sa conjointe. Sa santé s’affaiblit de jour en jour, jusqu’au moment où il ne trouve plus les facultés de subvenir à ses propres besoins. Il se tourne vers le CLSC pour déménager dans la même résidence que sa conjointe. On l’avise qu’une travailleuse sociale passera évaluer sa condition d’ici les prochaines semaines, et qu’en attendant l’ouverture du dossier, il devra se débrouiller seul ou avec les membres de sa famille. L’attente estimée pour l’évaluation de la travailleuse sociale le désespère. On estime que cette dernière pourrait prendre jusqu’à 2-3 mois avant de faire une demande d’hébergement non urgente, et que lorsque la demande d’hébergement sera envoyée, monsieur pourrait attendre de 6 mois à un an avant d’être relocalisé dans une résidence avec services dans le secteur public. N’ayant aucun de ses enfants qui peuvent le prendre en charge ni n’ayant prévu l’éventualité de ce scénario, monsieur voit sa condition s’empirer. Suite à l’évaluation des ambulanciers dépêchés sur place pour son affaiblissement général, il est envoyé à l’hôpital, qui entamera le même processus de relocalisation d’urgence que sa conjointe aura connu lorsque surviendra son congé médical.

L’avenir devant eux s’annonce bien triste: le couple partageant 60 ans de vie commune sera séparé d’un bout à l’autre du territoire, faute de place dans le secteur public. Le couple se reverra-t-il? Auront-ils encore la santé nécessaire pour vivre leurs derniers jours ensemble, dans la résidence de leur rêve? Les inquiétudes et le regret s’installent et la famille Ouimet réalise qu’ils auraient dû aider à déménager leurs parents dès les premiers signes des besoins à combler plutôt que d’attendre l’affaiblissement et la catastrophe du pire scénario. Les résidences privées accréditées vous accueilleront lorsque vos besoins commenceront à s’intensifier. C’est à ce moment qu’il faut prévoir la démarche un déménagement en résidence.

L’histoire se termine bien: grâce à l’équipe de Résidences-Québec!

Ce scénario typique est tiré d’un cas vécu de ce que nous avons l’occasion de recevoir comme demande chez Résidences-Québec. Nous avons été capables de dépasser les attentes de la famille Ouimet en leur offrant un appartement adapté avec services où ils peuvent profiter de leur autonomie résiduelle. Le couple réuni peut vivre ses jours heureux encore longtemps.

Les travailleurs sociaux, les intervenants et intervenantes ainsi que les conseillers et conseillères en hébergement pourront en témoigner: ce scénario représente la réalité des personnes âgées qui ne planifient pas leur hébergement ou qui attendent trop longtemps avant de combler leurs besoins. Une fois hospitalisé pour un cas de chute, de fracture, ou d’aggravation d’un problème de santé, vous risquez de perdre le contrôle de votre scénario de vieillesse idéal. Le réseau de la santé est là pour vous dépanner et non pour prendre en charge votre retraite de rêve. Pourquoi attendre avant de déménager dans un endroit sécuritaire et encadrant, une fois les problèmes de santé connus et identifiés? Nul n’est à l’abri d’une chute incapacitante, d’une tragédie ou de l’évolution rapide d’un problème de santé tel que l’Alzheimer. Lorsque vous pensez à l’hébergement et que vous savez que vous avez un problème de santé, agissez en prévention plutôt qu’en réaction, afin d’éviter de fâcheuses situations. Il est difficile de quitter son domicile lorsque nous avons passé plusieurs années à y habiter. Nous comprenons et sommes présents pour vous appuyer. Chez Résidences-Québec, vos conseillères sont disponibles pour vous aider dans un processus et faciliter la transition vers votre nouveau milieu de vie. Nous connaissons les résidences recommandables sur votre territoire de choix et vous guiderons gratuitement vers nos meilleurs endroits selon vos critères de recherche. N’attendez pas que la maladie et que les imprévus décident de votre vie et faites appel à nos services.

Lorsque la démarche de déménager en résidence est planifiée et va de l’avant, vous verrez le stress et les inquiétudes quotidiens diminuer, ainsi que les risques multiples sur votre chemin s’atténuer. C’est une démarche vers la tranquillité d’esprit et l’assurance des bons vieux jours. Au plaisir de vous aider dans cette démarche! Nous sommes là pour vous! Téléphonez-nous au 1-844-422-2555

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